Sur la bordure septentrionale de l'Elbourz central, les strates supérieures de roches principalement carbonatées, produites dans une mer peu profonde après le Dévonien, sont partiellement recouvertes par la formation de Shemshak, composée de roches essentiellement siliciclastiques (majoritairement des grès) accumulées dans un bassin d'avant-pays de la fin du Trias au Jurassique. La marge continentale présente toutefois déjà l'orientation ouest-est qui caractérise actuellement l'Elbourz[17]. L'exhumation reprend, hormis une pause à la fin du Miocène, alors que la vitesse de convergence tectonique reste constante. Capitale de l’Iran située au nord du pays, au pied des monts Elbourz et de la mer Caspienne, Téhéran est la plus grande ville du pays avec, en 2015, environ 9 millions d’habitants et plus de 15 millions de personnes dans toute l’aire urbaine. Au tournant du XIXe siècle, une série de guerres russo-persanes découle de la rivalité pour la possession des bordures maritimes du Caucase et de l'Elbourz, jusqu'à la côte sud-est de la Caspienne ; durant les décennies qui suivent, les relations commerciales entre les deux pays connaissent une succession de hauts et de bas[50]. Hormis l'Araxe, qui longe la chaîne à son extrémité nord-ouest, et le Sefid Roud qui la traverse de part en part entre ses parties occidentale et centrale, le réseau hydrographique vers le nord est généralement constitué de fleuves côtiers[7]. Située dans le nord du pays, au pied des monts Elbourz, la ville donne son nom à la province dont elle est également la capitale. Image de synthèse de la chaîne de l'Elbourz en direction de l'ouest, avec la mer Caspienne à droite. Différents processus de sédimentation sont associés à cet épisode compressif : en milieu continental dans l'Elbourz occidental, en milieu marin peu profond ou littoral sur la bordure méridionale avec des gypses et des débris calcaires[4],[5],[20]. (Structure et milieu) - Géographie physique, dictionnaire de l'Encyclopædia Universalis. L'attitude de l'homme et de la femme après avoir mangé de l'arbre défendu est une belle histoire à contempler.Lorsque l'homme et la femme entendirent les pas de Yahvé-Dieu ils se cachèrent tous deux devant Yahvé-Dieu derrière les arbres. Bien que son contenu lithologique ne diffère pas fondamentalement de celui du domaine précédent, l'Elbourz constitue une chaîne aux structures est-ouest bien marquées avec un double déversement : au nord sur le flanc nord, au sud sur le flanc sud. La riziculture tient aussi une place importante grâce à un système d'irrigation. Ce climat froid en hiver se ressent fortement sur les versants méridionaux, notamment à Téhéran, où les moyennes mensuelles sont de 5 °C en hiver et les minimales moyennes de 0 °C, alors que l'été les températures grimpent en moyenne à 30 °C avec des maximales de 36 °C[25]. C’est une ville tentaculaire qui s’étend au pied de la montagne avec ses immeubles modernes et ses quartiers délabrés et qui apparaît peu attractive (contrairement à son environnement proche : l’Elbourz et la Caspienne qui sont des lieux de villégiatures importants pour les habitants de Téhéran) Aucun nom propre préalable n'est identifié[2],[3]. La chaîne s'élargit dans sa partie nord-ouest. Elle dispose, par exemple, de nombreuses villes idéales pour passer des vacances, dont l’une des plus fascinantes est Téhéran. Ainsi, à la fin du Crétacé, une importante compression d'arrière-arc affecte l'Elbourz, en particulier sa partie méridionale, en lien avec une double subduction de la Néo-Téthys et de sa mer de Nain-Baft, correspondant à la formation du Massif central iranien et des monts Zagros[4],[5]. Dans l'Elbourz central, la ligne de partage des eaux principale, séparant le bassin de la mer Caspienne du plateau Iranien, a généralement la particularité de passer non pas par la crête axiale de la chaîne mais le long de l'Anti-Elbourz[6]. Il couvre ainsi, d'ouest en est, les provinces iraniennes d'Azerbaïdjan oriental, d'Ardabil, de Zandjan, de Guilan, de Qazvin, d'Alborz, de Mazandéran, de Téhéran, de Semnan, du Golestan et du Khorassan septentrional. Il est bordé par le Petit Caucase au nord-ouest, par le haut-plateau arménien à l'ouest, par le Massif central iranien au sud-ouest, par les monts Aladagh et le Kopet-Dag au nord-est, alors qu'au sud il domine le plateau Iranien[6],[7]. Entre 3 000 et 4 000 mètres d'altitude, il fond toutefois en une quinzaine de jours, laissant place à des processus périglaciaires[23],[26]. Lire la suite, Dans le chapitre « L'Elbourz » L'Elbourz est une chaîne de montagnes qui s'étend sur environ 1 300 kilomètres[4],[5], en ceinturant la rive méridionale de la mer Caspienne[6], principalement en Iran, des frontières avec l'Arménie et l'exclave du Nakhitchevan, au sud de la rivière Araxe, en passant par l'extrémité sud-est de l'Azerbaïdjan, pour son extension occidentale, pratiquement jusqu'aux confins avec le Turkménistan pour son extension orientale[6]. Carte du bassin du plateau central iranien et de ses sous-bassins principaux. Les minimales moyennes sont de 3 à 4 °C et les maximales moyennes sont de 29 à 33 °C[24],[25]. Il s’est assis sous son portrait, coiffé de son légendaire turban noir. Vers le sud, les cours d'eau se partagent entre le lac Namak à l'ouest et le Dacht-e Kavir à l'est[7]. Des carrières de calcaire pour le ciment, de craie pour les fours à chaux et de gypse pour le plâtre présentent en revanche des dimensions importantes[6]. La transhumance consiste à mener le bétail des étables en hiver à la lisière supérieure des forêts en été, puis aux champs après les récoltes, et les ovins et dans une moindre mesure les caprins des collines boisées aux pâturages les plus élevés[6],[10]. En Azerbaïdjan, le sanctuaire naturel d'État de Zuvand, sur 150 km2[27], et celui de Rvarud, sur 5 km2[89], possèdent un niveau de protection UICN de IV[89] semblable aux refuges fauniques iraniens. La rupture des barrages naturels constitue un risque pour les populations en aval[15]. En 875, les Samanides prennent le pouvoir aux Abbassides et restaurent la domination perse[45]. Le mont Damavand, point culminant de la chaîne à 5 610 mètres d'altitude[1], se trouve à mi-distance entre ces deux cols, à 75 kilomètres d'un côté et de l'autre à vol d'oiseau ; entre les deux, la crête axiale descend rarement en dessous de 3 500 mètres[6]. Située dans le nord du pays, au pied des monts Elbourz, la ville donne son nom à la province dont elle est également la capitale. Téhéran est située au pied des monts Alborz (ou Elbourz, à ne pas confondre avec l'Elbrouz, le sommet le plus haut du Caucase), un massif montagneux qui sépare la ville de la mer Caspienne. L'Hyrcanie puis le Tabarestan sont des régions qui ont reflété ces particularités historiques et religieuses, avec une mythologie très développée ; elles ont bénéficié de degrés d'autonomie relativement avancés. Fuji est la troisième plus grande ville de la préfecture de Shizuoka, avec 250.000 habitants et une gare Shinkansen Shin-Fuji qui permet de rejoindre Tokyo en un peu plus d'une heure. Située à Mazamet, à 24 km de Saix, la Maison de Ville au pied de la Montagne Noire dispose d'un jardin et d'une connexion Wi-Fi gratuite. L'habitat rural, sous l'influence des constructions de la plaine côtière, possède souvent deux étages avec un toit plat et utilise le bois comme matériau de construction, à l'exception des villages les plus élevés dont l'habitat est de plain-pied[6]. Elle prend fin avec l'invasion des peuples turcs d'Asie centrale à partir du XIe siècle[6], Seldjoukides en tête dans l'Elbourz[48]. Elles trouveraient leur origine dans l'existence de la muraille de Gorgan, dont la construction est pourtant initiée au Ve siècle sous les Sassanides[93]. Chambre avec vue au Parsian Azadi Afficher directement le contenu de la page Ouvrir le menu menu L'accrétion des terranes, composés de séries de roches sédimentaires datant du Précambrien au Trias moyen, entraîne l'orogenèse cimmérienne[4]. Quelques routes franchissent désormais la chaîne de part en part, disposant pour certaines de tunnels afin d'éviter le passage de cols élevés et d'assurer le trafic l'hiver. Durant l'Antiquité, la région de l'Elbourz est connue sous le nom d'Hyrcanie[38]. Il y a tant de choses à faire dans cette agglomération de plusieurs millions d’habitants. L'Elbourz abrite quelques gisements miniers en faible quantité : charbon, plomb, zinc, barytine. La plupart du temps, il s'agit de simples abris en pierre avec parfois quelques commodités et des zones de bivouac alentour. Les versants méridionaux sont sous l'influence de l'anticyclone subtropical dont l'air est asséché par son passage au-dessus du plateau Iranien[24]. Cette municipalité se situe au pied de l’Elbourz, une chaîne de montagnes aux sommets neigeux. Le circuit proposé d’une heure environ à vélo ou de 2 h 30 à pieds invite le promeneur à reconnaitre 19 essences différentes choisies … L'hiver, les disparités sont plus importantes selon la position par rapport à la ligne de crête principale : au nord, si les minimales atteignent −7 °C, les moyennes mensuelles restent toutefois légèrement positives ; au sud, en revanche, les moyennes sont négatives de décembre jusqu'à mars et les minimales descendent jusqu'à −13 °C[25]. © 2021 Encyclopædia Universalis France.Tous droits de propriété industrielle et intellectuelle réservés. Celle-ci ralentit fortement au cours de l'Oligocène[5]. De très nombreux exemples de phrases traduites contenant "la ville au pied de la montagne" – Dictionnaire anglais-français et moteur de recherche de traductions anglaises. en 2006, sur 13 952 km 2 ), par un habitat dispersé et par des dialectes et des coutumes mieux conservés qu'ailleurs. Transformation des relations existant entre les groupes sociaux pour la propriété et l'usage de la terre. Initialement cantonnée au plateau Iranien, elle grignote progressivement l'étage situé entre 1 300 et 1 800 mètres jusque-là constitué par le Pistachier mutique (Pistacia atlantica subsp. Semnan est une des 31 provinces d'Iran.Elle est située au nord du pays, et sa capitale est Semnan.La province a une superficie de 96 816 km² et s'étend le long de la chaîne de l'Elbourz et limite le désert du Dasht-e Kavir au sud. Houlagou Khan obtient finalement la reddition de la forteresse en 1256, au cours des invasions mongoles[48]. Ils sont à l'origine plutôt grossiers mais, avec le déclin du mode de vie pastoral, les populations semi-nomades ont partagé leur savoir-faire et, avec l'aide des marchands de Téhéran, de Qom ou de Qazvin, en ont fait une source de revenus[6]. Téhéran est située dans une plaine qui descend en pente vers le sud au pied des monts Elbourz.La ville a une altitude de 1 100 m au sud et 1 200 m au centre 1 700 m au nord. À la succession d'Alexandre, la chaîne est dans l'empire des Séleucides mais celui-ci est soumis à la sécession de la Bactriane et à l'émancipation de l'Empire parthe sous l'impulsion d'Arsace Ier, chef des Parni[41]. Les jeunes ont tendance à abandonner les villages traditionnels au profit de l'installation d'exploitations pérennes en altitude tournées vers la culture ou d'élevage[6]. Ce nom, attribué à l'Elbourz, désigne dès lors une chaîne de montagnes formée en 800 ans et encerclant la Terre, d'est en ouest[3]. Seul l'Elbourz oriental parvient à maintenir un mode de production traditionnel[6]. Pour les peuples indo-iraniens, Mithra a sa demeure sur la légendaire montagne Harā Bərəzaitī[3],[90]. La ville a une altitude de 1 100 m au Sud et 1 200 m au centre à 1 700 au Nord. Ainsi, les zones de formation d'un sol évolué sont rares, à l'exception des vallées latérales des versants méridionaux et des colluvions argileuses des versants septentrionaux humides[26]. Des glaciers sont présents sur les versants nord et est du mont Damavand (glaciers Siuleh, Dubi-sel, Speleh, Khurtabsar et Yakhar), dans le massif de Takht-e Soleyman (glaciers Septentrional — formé par les glaciers Alamchal, Patakht, Takht-e Soleyman — Occidental, Haft-Khan, Khersan et Merjikesh) où ils constituent un champ de glace relativement étendu (7,5 km2)[6],[16], et sur le Savalan (glaciers Septentrional, Herame-kasra, Herame-kasra Sud-Est et Méridional[16]). Durant l'été, une couche d'inversion de température se met en place, maintenant une mer de nuages pendant plusieurs semaines sur le bassin caspien et limitant l'amplitude thermique[24]. Sous les menaces répétées des Ouzbeks, elles finissent par être pacifiées dans les années 1590 sous Abbas Ier le Grand, notamment par son général Farhād Khan Qarāmānlu[49],[50]. Leur campagne contre les Nizârites se solde par la chute de Lambsar puis de Gerdkûh ; Alamut cesse d'exister en tant qu'État[48]. La chaîne a peu été imprégnée par le persan, qui prédomine largement sur le plateau Iranien[6]. À la chute de la brève dynastie des Afcharides, Gorgan et sa forteresse deviennent dès 1750 le fief de l'opposition turkmène des Kadjar dans les provinces caspiennes au pouvoir central des Zand[50]. Cette municipalité se situe au pied de l’Elbourz, une chaîne de montagnes aux sommets neigeux. Le Tigre de la Caspienne (Panthera tigris virgata) a longtemps constitué l'animal emblématique des forêts mixtes hyrcaniennes de la Caspienne, jusqu'à son éradication complète à la fin du XXe siècle[9],[27]. Inscrivez-vous à notre newsletter hebdomadaire et recevez en cadeau un ebook au choix ! Au pied de l'Elbourz, la ville possède divers témoignages architecturaux de son passé à différentes périodes (portes, mosquées, sanctuaires, bâtiments russes...). La chaîne forme une barrière topographique et climatique entre les côtes méridionales de la Caspienne, d'où proviennent les précipitations, et le plateau Iranien, induisant une importante disparité végétale entre les forêts mixtes des versants septentrionaux et les steppes boisées semi-arides des versants méridionaux. Les autres mammifères de cette écorégion sont représentés notamment par l'Ours brun de Syrie (Ursus arctos syriacus), le Sanglier d'Eurasie (Sus scrofa)[9],[27], le Loup des Indes (Canis indica), le Chacal doré (Canis aureus), le Blaireau européen (Meles meles) et la Loutre d'Europe (Lutra lutra)[27]. Le nom de l'Elbourz dérive de Harā Bərəzaitī, une montagne légendaire que traverse le Soleil et autour de laquelle gravitent les étoiles, selon l'Avesta, un ensemble de textes sacrés dans le zoroastrisme. Il est accompagné de l'Érable d'Asie (Acer velutinum) et de l'Érable de Cappadoce (Acer cappadocicum) ; dans l'Elbourz oriental plus sec, il est remplacé par le Charme commun (Carpinus betulus) et l'Aulne du Caucase (Alnus subcordata)[6]. De plus, les fronts glaciaires n'y descendent pas en dessous de 3 900 mètres alors qu'ils se situent entre 3 600 et 4 100 mètres d'altitude dans le massif de Takht-e Soleyman et sur le Savalan[16]. Plusieurs parcs nationaux, monuments naturels nationaux, refuges fauniques et sanctuaires naturels d'État contribuent à préserver l'environnement fragilisé par la pression anthropique. Situé à 2 500 mètres d'altitude, c'est un lac d'eau douce d'origine glaciaire peu profond, au niveau variable et d'une superficie maximale de 4 km2[14]. Téhéran, est la capitale et la plus grande ville d'Iran. Les montagnes de l'Elbourz, peuplées dès le Paléolithique, ont été depuis l'Antiquité, et jusqu'au XVIIIe siècle environ, un refuge et un foyer de résistance face aux vagues de conquêtes et aux changements de dynasties qui ont secoué la Perse. Bernard Hourcade, « L'Anti-Alborz : un espace marginal aux portes de Téhéran », Dernière modification le 9 mars 2021, à 15:24, forêts mixtes hyrcaniennes de la Caspienne, Central Asia: Northern Iran into southern Azerbaijan, 10.2305/IUCN.UK.2017-2.RLTS.T107655417A91754884.en, https://doi.org/10.11646/zootaxa.3114.1.6, National Parks of Azerbaijan and their inhabitants (continued), Iranian northwestern national parks share incredible biodiversity, زیرپورتال استان تهران > پارک ملی خجیر و سرخه حصار, A manual of "Khshnoom", the Zoroastrian occult knowledge, Iran's Wolf Wall, Second-longest in the World, is Still Shrouded in Mystery, https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Elbourz&oldid=180703644, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence. Elle présente de nombreuses vallées encaissées : le col Kandevan relie celle du fleuve Chalus au nord à celle de la rivière Karaj au sud, tandis que le col Gaduk relie la vallée du fleuve Talar au nord-est à celle de la rivière Hableh Roud au sud-ouest[9]. Le Savalan[75] et la grotte de Yakhkan[76], dans l'Elbourz occidental, le cyprès de Herzl[77], le Lys blanc[78], la source de Fakjour Damkesh[79], l'Alam Kuh[80], le mont Damavand[81], les lacs Tar et Havir[82], la grotte d'Afshan[83] et les gorges de Vashi[84], dans l'Elbourz central, sont des monuments naturels nationaux. La ville la plus proche est Reyneh, sur le versant sud. Il est situé dans la chaîne de l'Elbourz, à 66 kilomètres au nord-est de la capitale Téhéran. La région de Damghan-Chahroud qui fait l'objet de cette étude se situe au N.E. Ainsi, les provinces du sud de la Caspienne sont conquises en 1536-1537. De Bandar-e Anzali à l'ouest jusqu'à Gorgan à l'est, les températures croissent légèrement mais restent relativement homogènes : les moyennes mensuelles sont comprises entre 6 et 9 °C en hiver et entre 25 et 28 °C environ en été. Il se compose de chaînons imbriqués[6] culminant à 3 767 mètres, avec une altitude qui décroît nettement vers l'est, séparés par quelques cols relativement peu élevés[9]. Le site néolithique le mieux connu de l'Elbourz est Tepe Sang-e Chakhmaq, près de Shahroud. L'Homme de Néandertal occupe probablement la chaîne au Paléolithique moyen, des squelettes ayant été trouvés dans la grotte d'Azokh, au pied du Petit Caucase, sur la rive opposée de l'Araxe par rapport à l'extrémité nord-ouest de l'Elbourz, ainsi que des outils en pierre dans la grotte de Büzeyir, située dans les monts Talych en Azerbaïdjan, dans celle de Yarshalman, dans la partie centrale de la chaîne, et dans celle de Kiaram dans la province du Golestan, à son extrémité orientale[34]. Il s’est assis sous son portrait, coiffé de son légendaire turban noir. Les précipitations y ont lieu tout au long de l'année, un maximum survenant en début d'automne[6],[25], lorsque la mer est encore chaude[24], avec par exemple plus de 300 mm en septembre et en octobre à Bandar-e Anzali[25]. Encyclopædia Universalis - Contact - Mentions légales - Consentement RGPD, Consulter le dictionnaire de l'Encyclopædia Universalis. Carte de localisation de la steppe boisée de l'Elbourz. Sunnites[46], ils défont en 900 puis en 928 les Alavides, qui se réfugient pour nombre d'entre eux dans l'Elbourz occidental ; Mardavij ben Ziyar rejoint les rangs samanides[44]. Dans le chapitre « Conséquences du climat sur le modelé » La Panthère de Perse (Panthera pardus saxicolor), le Lynx du Caucase (Lynx lynx dinniki)[9],[27] et le Chat de jungle (Felis chaus)[27] y subsistent parmi les félins. Des plantations de thé et des vignobles se trouvent en outre en Azerbaïdjan[27]. Des roches métamorphiques, principalement de l'ardoise, ainsi que de la phyllite et des gneiss, avec des intrusions de granite, de diorite et de gabbro, y sont également présentes, en partie recouvertes par la formation de Shemshak[4]. Elles ont contribué à moderniser l'économie et à modifier les modes de vie. La collision continentale reprend avant le début du Cénozoïque avec la fermeture de l'océan Néo-Téthys et le rapprochement de la plaque arabique vers la plaque eurasiatique[4],[5],[18], en lien avec l'orogenèse alpine[17]. J.-C., il témoigne des débuts de l'économie agricole dans la région, et participe à la diffusion du mode de vie néolithique depuis le Moyen-Orient vers l'Asie centrale[36],[37]. L'Elbourz absorbe actuellement 30[5] à 40 %[19] de la convergence entre les deux plaques, qui s'élève à près de 22 mm/an[5],[19],[21]. Ainsi, dans sa rotation autour de Harā, le Soleil passe tout au long des 360 jours du calendrier traditionnel, en place jusqu'aux Sassanides, par 180 fenêtres différentes à son lever et 180 fenêtres à son coucher[3]. Lettres de deux amans, habitans d'une petite ville au pied des Alpes. Un nouveau mouvement de résistance s'organise et Alamut, dans l'ouest de l'Elbourz central, devient le siège d'une communauté religieuse ismaélienne nizârite régie par une organisation militaire[6],[48]. Le talysh est parlé dans les monts homonymes, dans l'Elbourz occidental, jusqu'en Azerbaïdjan. Ses gorges sont de ce fait un important point de passage[9] et séparent la partie occidentale de la chaîne, avec notamment les monts Talych, de sa partie centrale[4]. Iranodon persicus et Iranodon gorganensis sont des amphibiens présents respectivement dans la moitié occidentale de l'Elbourz et dans l'Elbourz oriental[31]. Lire la suite, Dans le chapitre « Le pays des piémonts » Posez vos questions et parcourez les 3 200 000 messages actuellement en ligne. La température annuelle moyenne est de 14 °C au niveau de la mer au nord[27] et de 15 à 18 °C, avec des hivers froids, en bordure du plateau Iranien au sud[28]. Vol. L'Aigle royal (Aquila chrysaetos)[9],[28], l'Aigle pomarin (Clanga pomarina), la Bondrée apivore (Pernis apivorus), l'Autour des palombes (Accipiter gentilis), le Vautour moine (Aegypius monachus), l'Alouette monticole (Melanocorypha bimaculata), le Pic noir (Dryocopus martius)[28] et le Faisan de Colchide (Phasianus colchicus)[9], fréquentent de préférence les milieux ouverts. Darbandsar est la station la plus moderne[59] ; ses quatre pistes[59] et six remontées mécaniques s'étagent entre 2 600 et 3 600 mètres environ[59],[60]. Ces carrières ont favorisé le développement de voies de communication. À la chute de la dynastie sassanide, au milieu du VIIe siècle, les populations zoroastriennes de l'Elbourz sont parmi les dernières à céder à la conquête arabo-islamique de la Perse après plus d'un siècle de résistance[6]. Située dans le nord du pays, au pied des monts Elbourz, la ville donne son nom à la province dont elle est également la capitale. 6 grands logements (5x 4½ et 1x 3½) tous rénovés. Khojir et Sorkheh Hesar sont deux petits parcs nationaux de respectivement 107 et 87 km2 tous deux situés depuis le début des années 1980 dans la zone protégée du Jaj Roud sur les premières pentes de l'Anti-Elbourz à l'est de Téhéran[70]. Quatre stations de sports d'hiver se trouvent au nord de Téhéran[53] ; il s'agit par taille décroissante de Dizin, Darbandsar, Shemshak et Tochal[54]. Repères Type de lieu: ville. La zone de suture est en revanche bien visible dans l'Elbourz oriental, au sud de Gorgan, où la formation de Shemshak, des calcaires crétacés fortement plissés et des conglomérats paléocènes recouvrent avec une discordance prononcée des stacks de schistes d'âge paléozoïque[4]. Depuis lors, sa population a … Les tiges servent au fourrage, comme la luzerne. mutica), l'Amandier commun (Prunus dulcis) et des aubépines (Crataegus sp. Les bergers sont remplacés par des employés dans des exploitations. Alvares, située entre 3 000 et 3 200 mètres[64] sur le versant sud-est du Savalan, est la seule station de la chaîne en dehors de l'Elbourz central[53] ; elle est équipée d'un télésiège et d'un téléski fonctionnant les week-ends et durant les vacances, non loin de la cité thermale de Sareyn[64]. Dans les textes du Bundahishn, c'est « le chef des sommets »[3]. Située au pied des monts Elbourz dans le nord du pays, Téhéran a une histoire relativement jeune comparée à ses consœurs iraniennes ayant parfois des existences millénaires. Les routes 81, à l'ouest de Damghan, et 83, au nord de Shahroud, ainsi que des routes secondaires, franchissent l'Elbourz oriental[6]. Elles ont aussi permis l'essor du tourisme, avec des populations issues des villes du piémont méridional recherchant un peu de fraîcheur l'été aussi bien que les divertissements des sports d'hiver. Au début du XVIe siècle, les Séfévides, d'abord menés par leur fondateur Ismaïl Ier né à Ardabil dans le nord-ouest de la chaîne, reprennent l'ensemble de la Perse aux Timourides turco-mongols à l'est et aux Moutons blancs turcomans à l'ouest. Sur les versants méridionaux, la steppe est dominée par des espèces d'astragale (Astragalus) et d'armoise (Artemisia) avec quelques fourrés dans les ravines[6]. Le mont Damavand est un volcan dont le cône actuel, âgé de 600 000 ans, présente un volume de trachy-andésite de plus de 400 km3 ; il repose sur les vestiges d'un cône plus ancien qui pourrait dater de près de 1,8 Ma. Les vallées proches de Téhéran connaissent des séjours centrés sur le week-end, au point de devenir la base de loisirs de la capitale, tandis que les vallées plus éloignées voient l'essor de résidences secondaires[6]. Shemshak est la plus ancienne des stations d'Iran, créée en 1958[57] ; elle compte 15 kilomètres[58] de descentes pour huit pistes[57] entre 2 550 et 3 050 mètres d'altitude[57] desservies par cinq[57] à sept[58] remontées mécaniques. Dans la capitale, aride, il tombe mensuellement 40 à 50 mm de décembre à avril mais la sécheresse sévit tout le reste de l'année, avec les mois de juillet à août généralement dépourvus de pluie[25]. La circulation atmosphérique se faisant généralement du nord-ouest au sud-est en été[6] et du nord-est au sud-ouest en hiver[6],[24], elle est en grande partie bloquée par les crêtes orientées perpendiculairement, ainsi que par le climat continental plus stable et plus sec qui règne au-dessus de 2 200 à 2 500 mètres d'altitude[6],[24]. Des tribus semi-nomades parlant lori (Hedāvand), arabe (Kōti), guilaki (Ali Kay), turc (Hosanlu), persan (ʿArab) ou encore sangsari (Sangsari) pratiquent le pastoralisme ou l'agriculture sur les versants méridionaux.
Jonny Kim Qi,
Pleiades Dataset Visualization,
Pôle Emploi Entreprise Qui Recrute,
Jean-pascal Zadi En Couple,
Coupon Tissu Jersey,
Barça Vs Bayern 2014,
Ou Acheter Carte Tntsat Seule,
Arsenal Vs Molde Score,
Kokomo Boat Charters,