Cinquante ans de grands chantiers ont fortement affecté le territoire et ont eu un effet direct sur le développement économique du Cotentin et de ses infrastructures. Les opérations de démantèlement ne cessent de monter en puissance dans le respect du cadre réglementaire. Le radioélément artificiel trouvé est le césium 137, il affichait seulement 0,71 becquerel par kilo frais. Avec la centrale nucléaire de Flamanville, l’usine de retraitement de combustible usé, le centre de stockage de déchets radioactifs de la Manche et des infrastructures militaires, la presqu’île du Cotentin est l’une des régions les plus nucléarisées de la planète. Selon un rapport contesté[Par qui ?] La revue XXI revisite le passé nucléaire de la Hague, Informations sur le complexe nucléaire de La Hague, Partenariat Areva/JNFL pour le recyclage du combustible, Le Japon a été livré en combustile MOX Areva, Sécurité nucléaire : le grand mensonge (à 32:10 ), Arrivée au Japon du convoi de combustible nucléaire MOX parti de Beaumont-Hague, Sûreté des installations nucléaires civiles manchoises Post-Fukushima, Sécurité nucléaire : le grand mensonge (à 1:00:22 ), Comité de réflexion d'information et de lutte anti-nucléaire, http://www.wise-paris.org/francais/rapports/011210TerrorismeNucleaire3.pdf, http://www.wise-paris.org/english/reports/STOAFinalStudyEN.pdf, Sécurité nucléaire : le grand mensonge (à 58:50 ), Sécurité nucléaire : le grand mensonge (à 31:20 ), Sécurité nucléaire : le grand mensonge (à 23:23 ), Sécurité nucléaire : le grand mensonge (à 1:02:42 ), Le point sur la sûreté de l'usine de La Hague face au risque de chute d'avion, http://www.acro.eu.org/analyse-critique-et-reflexions-sur-lactualisation-2014-des-autorisations-de-rejet-des-usines-de-retraitement-de-la-hague/, Case-control study of leukaemia among young people near La Hague nuclear reprocessing plant: the environmental hypothesis revisited, "Incidence des leucémies de l’enfant aux alentours des sites nucléaires français entre 1990 et 1998", "Estimation des niveaux d'exposition aux rayonnements ionisants, Démantèlement nucléaire : les entreprises françaises à la conquête du monde, L'ASN encadre la poursuite du démantèlement de l'Atelier Haute Activité Oxyde, Surveillance de la radioactivité dans l'environnement de l'usine, Commissariat à l'énergie atomique et aux énergies alternatives, Institut national des sciences et techniques nucléaires, Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs, Commandement spécialisé pour la sécurité nucléaire, Peloton spécialisé de protection de la Gendarmerie, Association française pour les règles de conception, de construction et de surveillance en exploitation des matériels des chaudières électro-nucléaires, Association nationale des comités et commissions locales d'information, Commission de recherche et d'information indépendantes sur la radioactivité, Histoire du programme nucléaire civil de la France, https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Usine_de_retraitement_de_la_Hague&oldid=182076574, Page avec coordonnées similaires sur Wikidata, Article manquant de références depuis mars 2021, Article manquant de références/Liste complète, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence. traitement et d'entreposage de déchets nucléaires, Plus de 5 000 personnes travaillent sur le site, Opérations de traitement du combustible usé, Les années 1970 : la reconversion dans le civil, Les années 1990 : polémiques sur les rejets radioactifs, Les années 2000 : la réduction des effectifs, Son décapage pollue l'environnement marin. Le principe est simple : ces jours-là, des visites sont proposées au public pour découvrir La Hague et le site de l'Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs (Andra). Plusieurs éléments suscitent des inquiétudes : l’étanchéité de la couverture (les fûts ayant été coulés dans du béton et enterrés sous une butte couverte en 1997 d’une membrane bitumineuse imperméable et de couches de sable et de terre), la contamination de la nappe phréatique et la présence de plutonium à vie longue parmi des déchets de faible et moyenne activité. Elle consisterait à entreposer les déchets radioactifs les plus dangereux à la Hague, au centre de traitement du combustible nucléaire usé. Vos données personnelles collectées resteront strictement confidentielles. Il est situé sur la commune de la Hague, en bordure de l'usine de retraitement de la Hague. Il est réalisé sous la surveillance de l’ASN[115] qui y réalise des inspections périodiques. L'usine dispose d'un centre de secours et d'un effectif d'une cinquantaine de pompiers spécialisés. La dernière modification de cette page a été faite le 19 avril 2021 à 18:08. Celles-ci sont rassemblées dans une nouvelle entreprise d’abord baptisée NewCo (ou NewAreva)[52]. À ce titre, au 1er janvier 2015, 96 % des déchets vitrifiés et 15 % des déchets métalliques compactés ont été renvoyés vers les clients étrangers. Parmi les opposants, on compte le poète normand Côtis-Capel. En mai 2013, Areva a déclaré - 4 jours après l'avoir détecté - un nouvel incident de niveau 1 car la température d'un bain d'acide contenant des produits de fission issus du procédé PUREX a dépassé le seuil autorisé[60]. Le risque le plus important est a priori lié au risque d'accident nucléaire. Le redémarrage de cette usine n’est pas prévu avant la fin du premier trimestre 2019. L'association Greenpeace a enquêté sur ces transports de plus de 1000km et dénoncé les risques extrêmes, la vulnérabilité[88] et l'aberration industrielle de ce transport de matières nucléaires très sensibles. D’un point de vue radiologique, l’impact du site est cent fois inférieur à la radioactivité naturelle. Dans le cadre des extensions d’entreposage des déchets vitrifiés Français, le premier CSDV (conteneur standard de résidus vitrifiés) a été entreposé dans EEVLH en 2013. La gestion de ces déchets est dite par dilution (par opposition à une gestion par confinement). Au total, l’industrie nucléaire réalise 4 500 transports par an, dont 1 000 en provenance ou à destination de l’étranger, 300 pour le combustible neuf, 30 pour le Mox, 200 pour les combustibles usés, 250 pour les expéditions d’UF6 et 60 pour le plutonium[76]. Viel (épidémiologiste et chef de service au CHU de Rennes, spécialiste du radon) et Sylvia Richardson produisent une étude[102] sur la mortalité par leucémies chez les enfants et jeunes adultes dans un rayon de 35 km autour de l'usine de la Hague (en distinguant 3 groupes d'âge entre 0 et 24 ans). Entre 1995 et 2007, selon Areva, près de 700 tonnes de déchets vitrifiés ont été renvoyés au Japon en vertu de la loi relative aux recherches sur la gestion des déchets radioactifs qui interdit le stockage en France de déchets étrangers[72]. Depuis 2012, l'Autorité de sûreté nucléaire (ASN) a mis en demeure le site de La Hague à 4 reprises[33] en raison de « plusieurs lacunes sérieuses dans la prise en compte du risque d'incendie » alors qu'un permis feu doit être délivré avant d'entreprendre tous travaux susceptibles d'initier un incendie[34] et en raison du risque de fuite d'un silo de déchets nucléaires (518 tonnes principalement composées de magnésium, de graphite, d'aluminium et d'uranium, entreposées entre 1973 et 1981) prévu pour un entreposage à sec mais qui a dû être rempli d'eau en 1981 face à un incendie[33]. EDF a suspendu ce recyclage à partir de 2013, mais des stocks de combustible URE usés demeurent, dont 310 tonnes de métal lourd irradié (tMLi, l’unité de masse pour les combustibles irradiés) à La Hague. Le site Orano La Hague a mutualisé les ressources de formation pour le nord-ouest dans un centre de services communs afin d’étendre l’offre de formation et de garantir les compétences en matière de sécurité. En effet il a augmenté de plus de 25 % entre 2008 et 2013 passant de 937 à 1 172 tonnes traitées[113]. Pour des raisons de sécurité, les transports sont généralement gardés secrets[77]. Les opérations de séparation, purification, conditionnement et entreposage sont effectuées sur le site d’Orano la Hague[5]. Cet incident n’a pas eu de conséquence pour le personnel, l’environnement et l’atelier concerné[62]. L’opération de détartrage a été une réussite technique. Elles ne sont toujours pas bunkerisées, alors qu’elles devraient pourtant « faire l’objet d’une conception particulièrement robuste, avec des marges suffisantes pour faire face aux risques envisageables », selon les recommandations de l’IRSN pour ce type d’installations dans son rapport sur l’entreposage du combustible usé. Cette pollution est confirmée par l'entreprise en janvier 2017. Des déchets radioactifs mal stockés à la Hague. En 2002, création des "visites buissonnières" pour suppléer l’arrêt des visites du site pour le grand public dans le cadre de l’application du plan vigie-pirate renforcé[27]. De 1968 à 1986, un seul décès a été signalé près de l'installation nucléaire, ce qui n'indique pas selon les auteurs une situation anormale, conclusion réaffirmée par deux autres études[103],[104] (bien que pour des durées et distances à l'usine différentes). Cette surincidence apparente reste cependant statistiquement non-significative, mais attire l'attention, car d'autres surincidences sont notées autour d'autres installations nucléaires. L'extension de l'entreposage de déchets, en attendant la mise en place de Cigéo, à Bure, entre Champagne et Lorraine, fait l'objet d'une vive critique de la part des associations antinucléaires[37],[38],[39]. Voir les conditions d'utilisation. En avril 2012, le président d'Areva Luc Oursel propose au Japon de retraiter à la Hague le combustible nucléaire usé, entreposé dans les piscines de désactivation de la centrale accidentée de Fukushima[73]. Ce plan de surveillance prend en compte la possibilité d’un survol du site. La contamination maximale relevée de 111 becquerel par kilo frais vaut pour les poissons et provient du potassium 40 radioéléments naturels. La partie du tuyau susceptible d’être découverte par les plus grandes marées a été recouverte d’un revêtement en béton. Les années 2010 marquent le début du démantèlement des installations les plus anciennes du site. Son décapage pollue l'environnement marin. Emploi : Déchets radioactifs à Beaumont-Hague, 50440 • Recherche parmi 742.000+ offres d'emploi en cours • Rapide & Gratuit • Temps plein, temporaire et à temps partiel • Meilleurs employeurs à Beaumont-Hague, 50440 • Emploi: Déchets radioactifs - facile à trouver ! Le 23 janvier 2018, NewAreva devient Orano[53]. En avril 2013, 10 tonnes de combustible MOX sont transportées depuis la Hague à destination de la centrale japonaise de Takahama, à l'arrêt depuis la catastrophe de Fukushima en 2011. 24 réacteurs en France sont autorisés à charger du combustible MOX ce qui représente 10 % de l’électricité produite à partir de l’énergie nucléaire[50]. Les déchets radioactifs ultimes sont des déchets radioactifs qui ne peuvent plus être traités dans les conditions techniques et économiques du moment, notamment par extraction de leur part valorisable ou par réduction de leur caractère polluant ou dangereux (Code de l’environnement, article L 542.1-1). En ne retenant que les personnes ayant des comportements supposés maximiser l’exposition, le risque n’augmente pas de façon notable, démontrant que l’impact sanitaire est nul[109]. En 1969, alors que Georges Pompidou redéfinit la politique nucléaire française, des rumeurs courent sur la fermeture de l'usine, devenue inutile pour l'armée du fait de stocks de plutonium militaire désormais suffisants. Les ministres de l'Environnement et de la Santé français constituent un groupe d'experts indépendants sur la question. Site de la Hague. Spira, du Groupe Radioécologie Nord-Cotentin[19]. En 1978, une pièce métallique radioactive a été dérobée par un employé de l’usine de La Hague et glissée sous le siège de voiture de son supérieur[11]. Le réexamen de l’ensemble des éléments par le GRNC permet de conclure que ces pics de concentration de tritium n’ont pas d’impact sanitaire[69]. À partir de 1998 une lettre des résultats environnementaux est diffusée par Areva aux parties prenantes et distribuée sur demande. Combustible uranium usé. Il stockera son dernier colis en 1994, et passera officiellement en phase « surveillance » en 2003. Arte Vidéo. ça fait très froid dans le dos ... il faut espéré qu'un jour il y est pas un accident majeur ..ça serait la fin d'autant que notre pays est petit
Alors que vos titres vont penser à du Morandini, la lecture du texte relève carrément de la fable. Le « recyclage » mis en avant par Orano et censé aujourd’hui être l’objectif premier de ces activités est en réalité extrêmement limité. En correspondance des combustibles usés traités, le nitrate d’uranyle est renvoyé vers le Site nucléaire du Tricastin, tandis que le plutonium est destiné à l’usine Melox de Marcoule (Gard) où est fabriqué le combustible MOX[78]. Première mondiale en 2010 avec la mise en exploitation du « creuset froid » sur le site Orano la Hague. À la radio on assurait que rien ne s’était échappé en dehors des clôtures, qu’il n’y avait pas de vent[14]. Il y avait donc une ou d'autres causes à rechercher. En mars 2013, un taux anormal de tritium a été mesuré dans l'eau de mer dans la Baie d'Écalgrain par l'Association pour le contrôle de la radioactivité dans l'Ouest (ACRO). Le site de la Hague, point sensible national, placé sous surveillance des moyens de l’État (contrôle aérien, gendarmerie…) bénéficie de moyens de protection, qui reposent en particulier sur une zone d’interdiction temporaire de survol de 1 000 mètres au-dessus du site, et par la possibilité d'abattre un avion civil gros porteur rempli de passager qui se dirigerait vers une installation nucléaire. La situation est d’autant plus préoccupante que les installations de retraitement sont vieillissantes et connaissent des avaries. Entre 1962 et 2010 la population du canton de Beaumont-Hague a doublé, passant de 5 431 à 11 931 habitants. À plusieurs reprises, Greenpeace mais aussi d’autres organisations comme l’Association pour le contrôle de la radioactivité dans l’Ouest (Acro) ont tiré la sonnette d’alarme et dénoncé la pollution sur les côtes et en mer. "Un récent rapport réalisé pour le compte du, "Au large de la côte normande, à quelque 30 mètres de profondeur, Greenpeace a installé la webcam manquante… là où quelque 230 millions de litres de déchets radioactifs sont rejetés en mer chaque année. La question de l’avenir de la filière de retraitement française, même si elle n'est pas ouvertement abordée, apparaît en filigrane[46]. Afin d’informer le public de ses activités, COGEMA crée en 1981 le Bulletin Hebdomadaire d’Information (BHI repris dans la presse locale) devenu Actu site puis arrêté en 2013 pour être remplacé par des supports numériques. Sur fond d'opposition à la privatisation, il illustre les difficiles conditions de travail, traite des dangers d'irradiations, fait part de l'inquiétude des agents. L’engorgement de ces piscines a de nouveau été rappelé fin 2018 dans un rapport du Haut Comité pour la transparence et l’information sur la sécurité nucléaire (HCTISN) : la marge d’espace disponible est inférieur à 7,4 %. Depuis 1993, la convention sur la prévention de la pollution des mers résultant de l'immersion de déchets interdit l'immersion en mer de déchets nucléaires à partir de navires, d’aéronefs, de plates-formes ou de toute construction humaine située en mer, mais n'empêche pas l'évacuation en mer de déchets provenant d'une usine terrestre telle que l'usine de la Hague. Viel et d'autres s'intéressent ensuite non pas à la mortalité, mais à la morbidité (taux de maladies), car des progrès ont été faits en matière de guérison des leucémies (environ 50 % sont maintenant soignées). Fin 1999 la fin des contrats Cost+Fees laisse place aux contrats au forfait post-2000 avec une baisse du tonnage à traiter de l’ordre de 25 %. Le dernier envoi de la lettre date de juillet 2011. Sa radioactivité mesurée était comprise entre 150 et 250 becquerels par kilo, loin du seuil légal de consommation de 600 becquerels Dans la zone de pêche autorisée située à 1 km du tuyau, la radioactivité tombe sous la barre de 1 becquerel. Sur le site de La Hague, certaines installations historiques, construites dans les années 1960, sont en cours de démantèlement. La mission de contrôle « se félicite de l’esprit d’ouverture démontré par les autorités françaises » et a pu conclure que « Les programmes de surveillance radiologique des effluents et de l'environnement mis en place par l'opérateur correspondent à tout point de vue aux exigences règlementaires »[68]. Il se fonde sur un « groupe de référence », population susceptible d’être la plus exposée du fait de sa localisation et de son mode de vie[réf. L’Acro fait ainsi régulièrement état de pollutions provenant de l’usine de la Hague, comme celle au plutonium révélée en 2017. Comme le souligne l’expert indépendant Mycle Schneider, « l’usine est autorisée à rejeter 20 000 fois plus de gaz rares radioactifs et plus de 500 fois la quantité de tritium liquide qu’un seul des réacteurs de Flamanville situés à 15 km de là ». Il y a 40 ans, en 1978, les ingénieurs-chercheurs du centre CEA de Marcoule (Gard) mettaient en service le procédé industriel de la vitrification des déchets. Autre source de préoccupation, non loin de l’usine Orano de la Hague : le centre de stockage de déchets de la Manche, géré par l’Andra. Elle est à l’identique pour les poissons. En 1976, la nappe d’eau circulant sous le Centre de stockage de la Manche a été contaminée par du tritium. Il semble qu'aucun gramme de plutonium provenant du site de la Hague n'ait eu en définitive un usage d'armement[7]. Ainsi des variations très importantes et très rapides de la concentration de tritium peuvent être mesurées. J. F. Viel, D. Pobel, A. Carre, Stat Med 1995;14:2459-72 (résumé en ligne), information relayée par Sciences et Vie en décembre 1995. usine d'extraction du plutonium de Marcoule, Usine d'extraction du plutonium de Marcoule, échelle internationale des événements nucléaires, convention sur la prévention de la pollution des mers résultant de l'immersion de déchets, Association pour le contrôle de la radioactivité dans l'Ouest, centre hospitalier universitaire de Lausanne, loi relative aux recherches sur la gestion des déchets radioactifs, Direction générale de la recherche du Parlement Européen, Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire, Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), Établissement de recherche atomique d'Harwell, http://www.areva.com/FR/activites-1118/areva-la-hague-recyclage-des-combustibles-uss.html, La Pointe de la Hague: Baie d'Ecalgrain et Anse du Cul Rond - Traces de trois orogenèses, icartienne, cadomienne et varisque, https://www.wikimanche.fr/Unit%C3%A9_de_production_2-400, Intrusions dans les centrales: «C'est lamentable qu'il faille Greenpeace pour démontrer les failles», http://rgn.publications.sfen.org/articles/rgn/abs/1992/04/rgn19924p318/rgn19924p318.html, "Déchets nucléaires: le silo 130 du site de La Hague est-il sûr ? À cette occasion, les services de la Cogéma et les militants écologistes de Greenpeace se livrent à une guerre de communication[7]. Les radionucléides contenus Des milliers de tonnes de combustible nucléaire usé sont stockées en attente de traitement, dont environ 10 000 tonnes de déchets hautement radioactifs répartis dans environ 17 000 containers, et 70 tonnes de plutonium[82]. Sur près de 15 hectares, pas moins de 527 225 m3 de colis de déchets radioactifs de faible et moyenne activité, en majorité issus de l’industrie électronucléaire, ont été entassés de 1969 à 1994. Interdite de survol jusqu'à 1 200 m depuis le niveau de la mer[91], l'usine est surveillée en permanence par des radars et, entre le 19 octobre 2001 et mars 2002, par des lance-missiles Crotale[92],[93]. En avril 1979 à la suite des contrats avec le Japon, le projet de l’usine UP3[12] destiné aux clients étrangers de COGEMA est rendu public. nécessaire]. Cette technologie permet de vitrifier une plus grande gamme de déchets, d’accroitre les cadences de production et d’allonger la durée de vie du matériel. Ce document est ensuite utilisé par les antinucléaires. Plus de 5 000 personnes travaillent sur le site[1], dont environ 3 000 directement pour Orano[Quand ?]. Le rapport s'inscrit dans le prolongement de l'étude plus complète réalisée par Wise Paris pour le compte de la Direction générale de la recherche du Parlement Européen (STOA) au sujet du potentiel toxique des rejets des usines de La Hague et de Sellafield en conditions de normales de fonctionnement[85].
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