Or, Jacques Sapir évoque dans son blog qu'en faisant régner une zone tampon au-dessus de la Syrie sans mandat ni délégation des Nations-Unies, les chasseurs turcs auraient tiré de manière juridiquement illégale[191]. La version de l'armée russe s'articule autour de trois points : l'absence de sommations par l'aviation turque, le non survol du territoire turc par le bombardier russe, et un tir au-dessus du territoire syrien par la Turquie. Plus au nord, des Su-34 détruisent un convoi prétendument humanitaire d'une vingtaine de camions d'une ONG turque alors qu'il transitait depuis le point de passage du camp de réfugiés de Bab al-Salama en direction d'Azaz. Daniel Vernet — 24 novembre 2015 à 19h02. Le poète turc Hussein Haydar a écrit un poème intitulé Excuses auprès du grand peuple russe. Il n'y a que les États-Unis qui ne le voient pas à cause de leur myopie géopolitique »[454]. Selon les autorités turques, qui à la suite de l'accord du 15 novembre 2015 doivent recevoir de la Russie des informations sur chaque mission se déroulant à moins de 15 km de leur frontière, les avions russes font l'objet d'avertissements « dix fois en cinq minutes » étant donné qu'ils étaient à l'intérieur de la zone concernée[177] de la part d'une patrouille de deux F-16C, sur les vingt affectés aux patrouilles aériennes de combat turques à la frontière syrienne[178], se situant à moins de 27 milles marins de leur position[80]. »[259] Le journal Moskovski Komsomolets parle d’une « embuscade ». Le 23 décembre 2015, à la suite des déclarations du vice-premier ministre turc Numan Kurtulmus où il commente en détail la campagne aérienne de la Russie contre Daech[256], le porte-parole du ministère russe de la Défense, le général Igor Konachenkov, établit que les informations concernant les missions de l'aviation russe en Syrie, transmises aux États-Unis conformément au mémorandum de sécurité des vols, avaient bien été communiquées à la Turquie[257]. Moscou a en effet confirmé dans la matinée qu’un Su-24 de son armée de l’air avait été abattu par la Turquie. Nous devons être prêts à ça », « nous avons de sérieux doutes sur le fait qu'il s'agisse d'un acte spontané, cela ressemble beaucoup à une provocation planifiée », « nous avons les preuves que la Turquie avait prévu d'abattre un avion de l'armée de l'air russe. La version de l'armée turque s'articule autour de trois points : les sommations par l'aviation turque, le survol du territoire turc par le bombardier russe et la légitime défense plaidée par la Turquie. Le 30 novembre 2015, Igor Klimov, le porte-parole des forces aériennes militaires russes, annonce que les bombardiers Su-24 seront équipés de missiles air-air dans des buts d'autodéfenses[330]. Le 16 octobre 2015, après que l'armée turque a abattu un drone russe de type Orlan-10 qui s'est écrasé à 3 kilomètres de la frontière en territoire turc[245], Recep Tayyip Erdoğan a déclaré que « même si c’est un oiseau qui viole notre espace aérien, il fera l’objet des mesures nécessaires »[246]. Un avion de combat russe a été abattu par la Turquie à la frontière syrienne / 12h45 / 1 min. Ministère de la défense de la fédération russe, Viatcheslav Avioutski, « Globalisation du conflit tchétchène », sur, 20 000 touristes russes au premier trimestre, Organisation du traité de sécurité collective, Institut de relations internationales et stratégiques, incidents frontaliers du Haut-Karabagh d'avril 2016, mémorandum sur le survol de la Syrie par les avions et les drones, Conférence de Paris de 2015 sur le climat, banque européenne pour la reconstruction et le développement, coalition internationale contre le groupe de l'État islamique, Woodrow Wilson International Center for Scholars, Vidéo des tirs sur les pilotes parachutés, Vidéo de la destruction d'un hélicoptère russe lors de l'opération de secours, « La volte-face de la Turquie sur la coalition contre l'État islamique », Wassim Nasr : "la Turquie est dans les faits en guerre contre les djihadistes de l'EI, Propos apaisés entre Ankara et Washington mais pas de stratégie commune sur la Syrie, « Turkish Air Force shoots down not helicopter but Syrian drone - defense ministry », « Une zone d’exclusion aérienne signifierait presque la chute du régime de Bachar », « Vu de Russie : Le bombardier russe a été pris en « embuscade » », « Russie: les entrepreneurs turcs n'ont pas le cœur à la fête », Opérations aériennes de la coalition internationale en Syrie, Intervention militaire de la Russie en Syrie, Accord entre la Turquie et les États-Unis sur Manbij, Bombardement de la base aérienne d'Al-Chaayrate, Bombardements de Barzé et de Him Shinshar, https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Crise_russo-turque_de_2015&oldid=182547173, Accident ou incident aérien impliquant un Soukhoï, Accident ou incident aérien impliquant un McDonnell Douglas, Page géolocalisable sans coordonnées paramétrées, Article contenant un appel à traduction en anglais, Article contenant un appel à traduction en allemand, Page utilisant le modèle Citation avec un retour ligne, Portail:Relations internationales/Articles liés, Portail:Époque contemporaine/Articles liés, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence. La Turquie se retrouve encore plus isolée quand le porte-parole du département d'État américain, John Kirby, affirme que le PYD n'est pas un mouvement terroriste en disant : « comme vous le savez, nous ne considérons pas le PYD comme une organisation terroriste »[349]. Sergueï Bainetov, de l'armée de l'air, déclare que « nos spécialistes ont extrait la carte mémoire, mais elle a malheureusement subi des dommages. Pour y parvenir, il est important de fermer la frontière entre la Syrie et la Turquie, car à travers elle, ces gangs reçoivent des armes, y compris par le biais de convois humanitaires. Ce système de géolocalisation possède un peu moins de satellites et deux fois moins de plans orbitaux que le système américain GPS et par conséquent « des écarts éventuels de positionnement entre l'aviation turque et l’aviation russe expliquent mieux les différences entre la version turque et la version russe »[219]. Le 27 juin 2016, sur la chaîne publique turque TRT, le président turc Recep Tayyip Erdoğan déclare que « nous avons avancé l'idée que si nécessaire nous sommes prêts à verser des compensations ». La Turquie abat un avion de chasse Su-24 russe Un avion chasseur-bombardier Sukhoï Su-24, abattu par deux F-16 turcs le 24 novembre, s'est écrasé en Syrie. Profitant de cette situation, des pays tels que l'Italie, Israël[426] ou la Bulgarie[415] font leur promotion auprès des Russes pour les attirer chez eux. Les Mi-8 se sont dirigés vers le signal. Cependant, le 9 mai 2016, Alparslan Çelik a affirmé avoir ordonné à ses hommes de ne pas tirer sur le pilote russe. Le Kremlin affirme que l'avion n'avait pas franchi la frontière. Le journal affirme que le mot de passe était Costa (pour Konstantin) et le drapeau de la Syrie[305]. La dernière modification de cette page a été faite le 3 mai 2021 à 16:08. Le 12 octobre 2014, Claudia Roth réitère ses accusations sur le média kurde Rudaw, à propos des rapports « inacceptables » d'Erdoğan avec l'EI. Deux chasseurs F-16 turcs ont abattu, mardi 24 novembre, un avion de combat russe – un SU-24 – près de la frontière avec la Syrie. Le même jour, le premier ministre turc, Binali Yıldırım affirme que la Turquie est prête « si nécessaire » à verser des compensations à la Russie[389],[390]. Kerry Buck, l'ambassadrice du Canada à l'OTAN, incite la Russie à utiliser ces canaux de communication en déclarant que « pour réduire les risques, il faut plus de transparence. Comme le souligne le quotidien suisse Le Temps, l'appareil russe était en train de quitter l'espace aérien turc pour retourner en Syrie, quand il a été abattu. En février 2014, Jonathan Schanzer, expert du Trésor américain en matière de financement du terrorisme, rapporte que la Turquie a failli être inscrite sur la liste du Financial Action Task Force, organisme qui lutte contre le financement du terrorisme international[28]. Puis il établit un contact visuel et lui indique la route à suivre[212]. Ali Ediboglu, un législateur CHP de la province de Hatay estime que le montant des ventes de pétrole de l’État islamique en Turquie est d'environ 800 millions de dollars en 2014[473]. Le principal fournisseur d'armes et d'équipements militaires à l'EI est la Turquie, qui le fait par l'intermédiaire d'organisations non gouvernementales, Les déclarations faites par les autorités turques sont tout à fait inacceptables pour une simple raison : c'étaient des appels à la guerre, non pas à la paix (...) Malheureusement, nous nous sommes déjà habitués à de telles bizarreries de la part des autorités actuelles turques, La porte-parole de la Fédération russe de Volley-ball, Irina Zolotova, dénonce, « le comportement inacceptable des supporters locaux ». N’oublions pas non plus que Moscou a réussi à discréditer Ankara sur la scène internationale, affirmant détenir des preuves de l’implication de la Turquie dans le trafic de pétrole de Daech. Le président turc, après avoir toujours nié avoir livré des armes, se défend confusément en affirmant qu'il s'agissait d'aide humanitaire[48], ensuite d'une opération de l'imam Fethullah Gülen, un ancien allié qu'il accuse de vouloir renverser le gouvernement[49], puis finalement, Erdoğan argue qu'il s'agit d'une aide, non en direction des djihadistes de l'État islamique, mais pour les Turkmènes de Syrie qui combattent Bachar el-Assad[50]. Un soldat a été tué », « traversé des forêts et plusieurs collines pour assurer un retour sain et sauf du pilote », « qui ont pris d’énormes risques toute la nuit », « le pilote qui a perdu la vie lors de la violation de l’espace aérien (turc) nous a été remis à la frontière (syrienne) la nuit dernière », « ceux qui ont prévu et mené cette trahison mériteront d'être punis », « Je dois rembourser la dette de mon capitaine », « Je m'agenouille en demandant pardon à la mère d'Oleg Pechkov », « dès que notre pilote s'est trouvé en sécurité, les zones concernées ont essuyé pendant une longue durée des frappes massives des bombardiers russes (de la part de six chasseurs bombardiers et quatre hélicoptères et tir de quatre missiles de croisière, « tous les terroristes et les autres groupes obscurs qui opéraient dans la région ont été détruits », « ils (le gouvernement turc) ne défendent que leurs propres intérêts sans tenir compte de l'avis de Washington », « seul groupe qui a fait face avec une détermination et un courage inégalés », « comme vous le savez, nous ne considérons pas le PYD comme une organisation terroriste », « nous sommes choqués des propos de Kirby mettant dans un même sac son allié la Turquie et l'organisation terroriste PYD. Il se peut que dans l'urgence, la chaîne de commandement otanienne ait été rompue[226]. Il est également question de la raffinerie de la ville de Batman et enfin de la ville de Cizre[436],[437]. Pour son geste, le club du Lokomotiv Moscou lui inflige une amende de 300 000 €[434]. Il déclare que « si de gros volumes sortent de Syrie, ils sont écoulés en Turquie »[464]. Le journal affirme que dès trois heures de l’après-midi, Konstantin Mourakhtine se trouvait déjà à Lattaquié[296]. Le 31 mars 2016, la police turque arrête Alparslan Celik avec une dizaine d'autres personnes dans un restaurant d'Izmir[380]. Accusation souvent adressée à la Turquie par les occidentaux mais de manière plus diplomatique », « allié dangereux qui risque de plonger l'Otan dans un conflit indésirable avec la Russie », « ce geste de la part des Turcs me semble signifier clairement qu'ils ne veulent pas entrer dans la coalition », « le seul vainqueur de ces derniers développements (la destruction du Su-24 par des F-16 turcs), c'est Assad », « les forces russes réalisent de grandes avancées en Syrie et ont réussi à fragiliser Daech, ce qui va permettre au régime d’Al-Assad de survivre au grand dam de la Turquie. Dans ce cas, il pourrait être abattu par des chasseurs russes ou des missiles sol-air. La porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères, Maria Zakharova, exige des autorités turques l'arrestation d'Alparslan Çelik et de ses complices et de les traduire en justice pour l'assassinat du pilote russe, car il aurait « avoué son implication directe dans le meurtre du pilote russe » lors d'un interview pour le journal turc Hürriyet en disant que « sa conscience ne pouvait pas être troublée par quelqu'un qui lance des bombes sur les civils turkmènes chaque jour » et ajoute que « la vengeance est le droit le plus naturel »[291]. Cette revendication peut expliquer une attitude particulièrement nerveuse de l'armée turque quand cette province fait l'objet d'une intrusion[5]. Est-ce que l'exigence américaine est applicable à la Turquie et si elle est, je voudrais savoir si la Turquie a demandé aux États-Unis la permission d'envoyer ses avions sur une mission de combat et d'abattre un avion, probablement identifié, sur le territoire syrien »[269]. «Un des pilotes est mort dans les airs lorsqu'on lui a tiré dessus depuis le sol», a déclaré le général Sergueï Roudskoï, de l'état-major russe. Le 3 décembre 2015, Erdoğan passe à la contre-attaque lors d'un discours à Ankara où il met en cause un certain Georges Hasawi, un Syrien détenteur d'un passeport russe, comme étant le plus grand trafiquant de pétrole, mais il implique aussi le célèbre joueur d'échecs Kirsan Ilioumjinov[443]. Le 30 novembre 2015, à la Conférence de Paris de 2015 sur le climat, au Bourget, le président russe Vladimir Poutine refuse de rencontrer son homologue turc le président Recep Tayyip Erdoğan[366]. Le premier ministre Ahmet Davutoğlu déclare, le 29 novembre 2015 que cet « exemple » du Su-24 pourrait se reproduire[372] ; d'où un souci de coordination des informations[373]. Le 29 novembre 2015, le corps d'Oleg Pechkov qui était entre les mains des Turkmènes[310] est rapatrié en Turquie afin d’être remis à un diplomate russe dans la région de Hatay à la frontière syrienne. Le 29 décembre 2015, le ministre du Commerce et de l'Industrie Denis Mantourov laisse envisager une interdiction des importations de biens de consommation venant de la Turquie[405],[406]. En janvier, les volumes des exportations turques ont diminué de 65 %. Il a été repéré grâce à son système de géolocalisation, car une balise radio équipe chaque siège éjectable du Su-24[296]. Cette dépendance de son matériel militaire a précipité l’Égypte à acheter des Rafales à la France[270]. Le 27 novembre 2015, Didier Billion, directeur adjoint de l’IRIS, révèle que « depuis de nombreux mois, des sources locales relatent clairement l’existence de convois de camions transportant du pétrole de l’État islamique entre la Syrie et la Turquie »[461]. Le général Bondarev, présent pour accueillir la dépouille du pilote déclare que « ceux qui ont prévu et mené cette trahison mériteront d'être punis »[314]. Le ministère de la défense russe affirme que le bombardier « se trouvait exclusivement dans l'espace aérien syrien »[214]. Le Premier ministre turc Ahmet Davutoğlu déclare que « le pilote qui a perdu la vie lors de la violation de l’espace aérien (turc) nous a été remis à la frontière (syrienne) la nuit dernière »[311] sans expliquer comment le corps a été rendu[312]. Cette information aurait dû être transmise au commandant du CAOC, le général Rubén García Servert qui avait rappelé dans le journal El Mundo daté du 2 janvier 2015 que c'est lui qui prend la décision finale d'abattre un aéronef considéré comme hostile[225]. La tension reste forte entre Ankara et Moscou au lendemain de l'incident aérien au cours duquel des chasseurs turcs ont abattu un avion militaire russe à la frontière avec la Syrie. N’oublions pas non plus que Moscou a réussi à discréditer Ankara sur la scène internationale, affirmant détenir des preuves de l’implication de la Turquie dans le trafic de pétrole de Daech. Le 21 janvier 2016, le journal turc Yeni Safak rapporte qu'un lot de mandarines de la compagnie Uçak a été détruit par les autorités russes parce que le mot Uçak en turc signifie aviation et que cela a été pris comme une humiliation[408]. Après avoir visionné une vidéo, le procureur d'Izmir a abandonné toutes les charges retenues contre lui[385]. Les deux pilotes ont pu s'éjecter avant le crash et sauter en parachute. Soit ils ne contrôlent pas ce que font leurs alliés, soit ils distribuent ces informations à droite et à gauche sans se soucier des conséquences »[268]. Pour la période allant du 28 septembre 2015 au 31 mars 2016, la Russie a importé 27 % de la production turque de citron et reste le premier débouché pour le citron turc[412]. Le Kremlin affirme que l'avion n'avait pas franchi la frontière. Sergueï Lavrov soulève l'hypothèse d'une implication des Américains dans cet incident en disant que « des membres de la coalition, y compris ceux qui fournissent leurs avions de combat pour des frappes contre l'Irak et la Syrie, nous ont confié que pour impliquer des avions de fabrication américaine, les Américains réclament normalement une autorisation pour de telles opérations (...) Notre avion a été abattu par un F-16 de fabrication américaine. C'était une course contre la montre, car les terroristes le recherchaient aussi »[297]. Le 27 juin 2016, soit 7 mois après la destruction du bombardier russe et la mort de son pilote, le président turc Recep Tayyip Erdoğan s'est enfin excusé dans un message adressé à Vladimir Poutine où notamment il présente les condoléances à la famille d'Oleg Pechkov et appelle à reprendre des relations amicales entre les deux pays[387],[388]. Le 23 janvier 2016, le ministre du Commerce iranien, Mohammad Reza Nematzadeh, interdit aux entreprises de réexporter les produits turcs vers la Russie pour ne pas détériorer ses relations avec Moscou à la suite des deux avertissements qu'elle a reçus et du fait que la presse russe a révélé cette « nouvelle route » pour les produits turcs en Russie[409],[410]. Le 25 novembre 2015, İdris Baluken (en), député du HDP, croit lui aussi à la préméditation en disant qu'« on voit que la destruction de l'avion russe a été décidée et planifiée auparavant, et cela s'est juste mis en œuvre hier »[236]. Chacun d'eux était armé de 4 bombes à fragmentation OFAB-250-270 de 268 kg[175]. Mardi, un chasseur-bombardier Su-24 russe a été abattu par deux chasseurs turcs F-16. L'avion était au dessus de ce petit coin de la Turquie pendant 17 secondes ou quelque chose comme ça.
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